Centre Hospitalier de Montauban - Montauban

Gaetan J. C.

Pour la maternité au début on étais accueilli , le personnel toujours au petit soins impeccable. Ensuite après 4 jours à la maternité on rentre chez nous et 24h après on étais obligé de revenir car ma femme a eux un problème et la les soins et le personnel reste à désiré il disent pas tous la même chose on nous annonce une infection à un endroit suite au scanner et 2 ou 3 jours plus tard on nous dis qu'ils on trompé d'endroit pour son infection, on leur pose des questions incapable de répondre, ma femme me dit que les repas sa donne pas envie de manger .

STCM

Personnel soignant vraiment pas aimable , je comprends la difficulté du métier mais femme est du milieu .
Je n'ai pas l'habitude de mettre des notes mais j'aimerais alerter sur les erreurs de diagnostic qui mettent gravement en danger les personnes qui viennent se faire " soigner ".
Ce n'est pas la première fois que j'entends des histoires de mise en danger de patients mais j'ai malheureusement pu le vérifier par moi-même.
Heureusement que nous ne sommes pas resté sur le diagnostic posé par le medecin aux urgences et que nous avons consulté notre médecin traitant pour notre fille de 4 ans , évitant ainsi un drame .
À fuir si vous ne voulez pas jouer avec le feu pour votre santé.

serge M.

Suite à une chute j'ai été hospitalisé dimanche 2 mars 2026 au soir pour des fractures diverses à la malléole. J'ai été pris en charge correctement aux urgences, le medecin urgentiste à réduit le fractures puis le chirurgien R. Kochbati m'a opér en orthopédie. La gentillesse la compétence à tous les niveaux.
Je suis en attente de sortie pour la fin de semaine dès que toutes les vérifications seront effectuées la fracture étant complexe. Un grand merci à chaque intervenant à son propre niveau.
Visité en mars

Toa I.

J'ai eu un mauvais rhume. Tout a commencé dans la bouche. Il y avait une inflammation de la mâchoire droite par le bas. Puis cette douleur est allée à la gorge et à la poitrine. J'ai enduré cette douleur pendant 4 jours, et le cinquième jour, j'ai eu une douleur intense et insupportable dans la poitrine. Je ne pouvais pas respirer. Mon cœur et ma douleur dans la poitrine battaient la chamade. Et nous avons appelé une ambulance et leur avons dit quels symptômes de douleur j'avais. Ils ont envoyé et vérifié le cœur. Et ils m'ont emmené à l'hôpital à 5 heures du matin. Et ils ont mis cet appareil et ont attendu le déjeuner. Et j'ai eu mal tout ce temps. Lorsqu'ils ont eu un changement de médecin, une jeune fille est venue me voir, m'a retiré la machine et m'a immédiatement donné des feuilles de papier avec un diagnostic. Elle n'a même pas regardé cet appareil, qui a été mis sur le cœur. Et le diagnostic est que j'ai une gastrite. Et le traitement de la gastrite gastrique. Elle n'a même pas retiré une partie de l'appareil de mon doigt et a dit que c'était tout et que je suis rentré à la maison. Et j'ai jeté cet appareil dans la rue. Et nous sommes immédiatement allés à l'hôpital de Toulouse. Et ils m'ont dit que c'était une inflammation, un rhume. Ils ont prescrit un traitement, et cela m'a aidé. Le lendemain, je me sentais beaucoup mieux. Ils ont été surpris quand ils m'ont dit que j'avais une gastrite. Mais ils n'ont rien dit parce qu'ils étaient leurs collègues. Tout cela a eu l'air le matin du 22 février.

Elodie D.

J'ai été admise aux urgences aujourd'hui à 6h pour une douleur thoracique intense.
La prise en charge fut très rapide par l'infirmière de garde. D'une gentillesse et empathie sans nom. Et que je remercie au passage.
Mais le cauchemar commence après lors du changement d'équipe. La nouvelle infirmière même pas un bonjour pas un mot jusqu' à 8h juste pour me faire la prise de sang. Une fois celle ci faite personne ne c'est occupé de moi. Sur un brancard sans couverture dans un couloir. Les portes qui ouvrent et se ferment à chaque admission.
Les conversations du personnel médical( infirmières, ambulanciers, secrétaire....) à vomir
AUCUNES EMPATHIE POUR LES PATIENTS
A chaque patient c'était un commentaire désobligeant ( mais il se passe quoi avec les psy aujourd'hui ils se sont tous donné le mot...la grosse dans le couloir c'est une fracture du dos, la chieuse au pull bleu elle vient tout les 2 jours...) les propos de personnel qui se dit soignant.

Patricia P.

Je suis rentrée aux urgences pour détresse respiratoire. Les examens pratiqués montrent que j'ai une infection pulmonaire avec asthme en second plan. Les soins ont été pratiqués, très bien!!! sauf que l'on m'a donné une prescription pour de la cortisone et pas d'antibiotiques alors qu'il y a une infection, j'ai dû réclamer un arrêt de travail a la jeune doctoresse, il ne lui ai même pas venu à l'idée que j'étais dans l'impossibilité d'aller travailler ... Ce matin je me suis rendue chez mon médecin traitant qui était furieux de constater cela.
Les urgences m'ont libéré en fin d'après-midi, elle m'a laissé partir sur mes jambes qui n'étaient pas solides, en pyjama, la porte du couloir s'est ouverte et me voici à l'accueil sans avoir bu une seule goutte d'eau de la journée, j'ai dû attendre ma fille dans une salle où il y avait du monde qui ont de suite remarqué ma détresse physique et morale.
Aucune compassion, aucun mot réconfortant, la froideur totale

Lionel

Mon père s'est rendu dans cet hôpital à la suite d'un problème à la jambe. Le médecin lui a diagnostiqué rapidement un phlébite. Mon père a suivi son traitement, ma sa situation s'est dégradé dans les jours suivants, il est retourné à 3 reprises aux urgences, mais le médecin à dit que c'était simplement le stress. Au bout d'une semaine, mon père à perdu l'usage de ses jambes et nous sommes allez en urgence à l'hôpital de Rangueil, ils ont rapidement trouvé un eudémone qui comprimait la moelle épinière. Mon père ne remarchera plus à cause des erreurs médicales à répétions de cet hôpital.

Sébastien R.

Chirurgien incompétent (+ infirmiers qui n'ont aucun pouvoir sur les chirs), personnel de santé qui ne remet jamais en cause ses erreurs chirurgicales. Je sors de l'opération avec une infection nosocomiale que l'on a laissée se propager 3 mois dans mon pied. Je suis passé à deux doigts de la catastrophe et de l'amputation de mon pied suite à un accident de rugby et une fracture ouverte du pied Cauchoix II.

Si vous avez la possibilité, allez vous diriger directement vers le secteur toulousain.